La slackline sur un fil

Publié le 23-11-2014 11:00:43 Modifié le 23-11-2014 11:00:43 Par tmv

Deux poteaux, une sangle, de la patience : c’est tout ce qu’il faut pour jouer les funambules des villes.

(Photo CC Arne List)

Il suffit d’une sangle en polyester de 7 à 15 mètres de long, d’une attache, de deux longes et deux points d’ancrage solides : réverbères, arbres, poteaux… La slackline séduira ceux qui aiment le plein air et se fixer des défis personnels et surtout, elle permet de s’amuser tout en travaillant la souplesse et l’équilibre. Au rayon des sports qui vident la tête, la cote de la slackline est en hausse.
La slackline, ou pratique de la corde lâche, nous vient de Californie. Les adeptes débutent avec une sangle élastique d’une dizaine de mètres et plus ou moins large tendue à 30 ou 40 centimètres du sol. Il faut ensuite parcourir toute la longueur de la sangle souple. La slackline, c’est donc beaucoup de funambulisme (mais sans le balancier), un peu du sens de l’escalade et toute la créativité du surf : elle fait travailler la concentration tout en laissant la porte ouverte à une grande fantaisie.

C’est aussi une aide pour reprendre confiance en soi, puisque chaque progrès est visible et assez impressionnant. Une fois l’équilibre acquis, la pratique est très libre. Au début, on imagine bien qu’il s’agit surtout de rester debout et de poser un pied devant l’autre. La sangle permet également d’être un support à toutes les figures imaginables : vous pouvez parcourir toute la longueur à cloche-pied si ça vous chante, en exécutant des sauts arrière ou en faisant des claquettes (mais ça demande un peu d’entraînement). Avec son matériel très léger, la slackline peut se pratiquer à peu près partout. Une corde, deux arbres et voilà une alternative amusante à la natation ou la course à pied et une bonne façon de se détendre la veille d’un examen.

Stelda

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Catégories : Tendances

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